samedi 16 février 2019

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  1. ©JAMES BOND POEME THOMAS ANDRE© ECRIT 15-3-2013

    Il y a 50 ans j’ai vu mon premier BOND,
    Celui-ci, appelé aussi agent 007, ou commandeur BOND.
    Représentant du service d’espionnage de l’Angleterre, de sa majesté la reine,
    Et dont le cœur, chavire pour chaque femme, qu’il traite toujours comme une reine.

    Bons baisers de Russie, 2ème film de la série des BOND avec Sean Connery,
    Il m’a marqué par ce personnage, joué par Sean Connery
    Extraordinaire, qui faisait face à tous, avec élégance,
    Efficacité pour le MI6, classe et séduction auprès des femmes d’une grande élégance.

    Je vis plus tard, Goldfinger,
    Et je me mis à rêver, pas de Goldfinger,
    Mais de ce fabuleux instrument, le boomerang,
    Arme de prédilection des Aborigènes d’Australie ce boomerang.

    Régulièrement j’allais voir les Bond car il y avait dans chacun de l’originalité,
    Une découverte d’endroits paradisiaques,
    Et cet homme qui faisait face à ces beautés aphrodisiaques,
    Quelle chance avait cet espion en vérité.

    Ce qu’il y a de bien dans les James BOND aussi, ce sont ces cascades,
    Des numéros à vous couper le souffle,
    A vous mettre à bout de souffle,
    Pas le film mais le cœur par les prodiges de ces cascades.


    L’extraordinaire dans ce héros, c’est sa facilité,
    Qui m’impressionne même dans la difficulté,
    Un coefficient intellectuel très au dessus de la norme,
    Une adaptabilité à toutes les situations hors normes.

    C’est quelque part ahurissant,
    Et aussi attractif et enrichissant,
    En effet, ses facultés d’anticipations,
    Sa force et son savoir du combat, nous laisse pleins de spéculations.

    Dans ce qui me frappe dans ces films,
    C’est la puissance qu’arrive à nous transmettre,
    Les combats, et surtout les instants, ou harassé il doit se remettre,
    Alors là, on franchit le cap romantique des films.


    Ce qui me touche aussi, c’est que malgré que ce soit du cinéma,
    C’est la part d’authenticité que nous transmet ce cinéma,
    Les invraisemblances existent mais lorsque vous êtes engagé dans le film,
    Il semblerait que l’esprit critique s’évapore pour n'apprécier que le film.

    Enfin et pour parachever ce que j’aime dans les BOND,
    C’est que malgré l’interchangeabilité de BOND,
    Sa crédibilité n’est pas entamée, et je ressors toujours surpris par ce fait,
    Car le rôle est toujours bien tenu, pour nous laisser à jamais satisfait.

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