jeudi 2 juin 2016

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  1. mise à jour le 02-06-2016
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art, créatrice de la photo-peinture,
    ,créator of the photo painting,new art of the photo painting,art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
    En juin 2008, LES ETATS UNIS ENCORE SOUS LA PRESIDENCE DE GEORGES BUSH JUNIOR ETAIENT EN PLEINE CAMPAGNE ELECTORALE PRESIDENTIELLE ET LE PEUPLE AMERICAIN ALLAIT FAIRE ACCEDER A LA PRESIDENCE DES ETATS UNIS LE PREMIER PRESIDENT NOIR , LE PRESIDENT OBAMA PROVOQUANT DANS LE SYSTEME PLANETAIRE UNE VRAI REVOLUTION. J'AI VOULU MONTRER QUE LA CAPITALE FEDERALE WASHINGTON DC ETAIT UNE VILLE DU SOUVENIR A LA MEMOIRE DE TOUS CES GI'S QUI SONT TOMBER POUR SAUVER NOS PATRIES ET ETAIENT ICI RECONNUS ET ADMIRES AINSI QUE RESPECTES. C'EST POUR CELA QUE J'AI VOULU FAIRE UN DIAPORAMA POUR TOUS CES HEROS SANS QUI LE MOT LIBERTE N'EXISTERAIT PLUS. Mon diaporama est un hommage à tous ces hommes et femmes. WASHINGTON EST AUSSI UNE BELLE VILLE OU LA SENSIBILITE DES GENS EST DIFFERENT DE CELLE DE NEW YORK. L'UNE EST SERIEUSE ET STUDIEUSE , L'AUTRE EST FRIVOLE ET EXTRAVERTI. LA GUERRE ET LE SOUVENIR DE LA GUERRE EST L'ENTITE DE WASHINGTON. La paix et la serenite se produit lorsqu'on arrive à la Maison Blanche par le parc aux écureuils. Cette splendide résidence tout de blanc vétu fait penser au symbole de la colombe. magnifique MARTINE ANCIAUX

    ©WASHINGTON poème THOMAS ANDRE©

    Ton nom est lié à un pays,
    Tu es toi même sans faire de bruit la capitale de ce pays,
    Ta bannière flotte au dessus de la MAISON BLANCHE,
    Haut lieu des ETATS UNIS, ou toute politique s'enclenche.

    Ton Président, l'homme le plus puissant de la planète,
    Et qui, comme chaque président n'est pas souvent à la fête.
    Tu es la ville ordonnée au respect,
    Chez toi point d'extravagance, cela paraîtrait suspect.

    Tu te drapes dans ta dignité,
    Car ici, tu es l’emblème de la mémoire,
    Tu es celle de la vérité
    Que tes hommes ont conquit par les armes du devoir.

    En toi recèle une profonde nostalgie,
    Qui vu de l'extérieur ressemblerait à de l'empathie.
    Que nenni, ici aussi vivent des américains,
    Qui aiment la vie, et sont plein d'entrain.

    Tes cimetières nous émeuvent,
    Et nous nous sentons tes tributaires,
    Regardant et lisant sur ces croix de dignitaires,
    Et là encore leurs lectures émeuvent.

    Tu vois, moi l'étranger, pas tout à fait car je suis français,
    Et depuis les tuniques rouges nous sommes amis,
    A cette époque là tu n'étais qu'un rebelle, pas un américain.
    Et nos destins depuis se sont liés à jamais, es tu d'accord mon Ami.
    ՙ©THOMAS André le 12-07-2010©

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