vendredi 19 février 2016

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  1. 20-02-2016 mise à jour,
    QUAND D'UN COUP,
    TU ENTENDS, LES MOTS EN UN INSTANT, CHANTER,
    PAS DE DOUTE, EN PROVENCE, TU ES D'UN COUP,
    LE SOLEIL TE MORD, ET LA MER VA POUVOIR TE BERCER
    THOMAS André
    29-05-2015,mise à jour,
    Ajoutée le 10 févr. 2013
    THOMAS André,écrivain,poète,MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
    En cette période de grand froid,je vous invite à connaître LA PROVENCE,une terre de mer,culturelles,de cultures agricoles,de soleil,de traditions, dominé par les phéniciens à Marseille,
    il y a plus de 2600 ans, les grecs et les romains,
    le passé romain est inscrit sur cette terre voir
    les arènes de Nimes et d'Arles et le Pont du Gard près d'Uzés;
    ©PROVENCE POEME THOMAS ANDRE ©
    A l'ombre de ces platanes, j'ai vu courir ma vie,
    Les regardant me voir grandir, pour faire ma vie,
    Eux centenaires, en ont vu des histoires,
    Et les ont stockées comme dans un répertoire,

    Aux joueurs de boules,
    Qui s'affairent sur ces boules,
    Comme un trader sur la bourse,
    Il me faut têter le cochonnet pour être toujours en course

    Ensuite, il y a ces champs de lavandes,
    Où la couleur mauve soutenue, force le regard,
    Et où butinent des milliers d'abeilles, pour nous faire du miel de lavande.
    Emerveillé comme un peintre qui mémorise son regard.

    Comme VAN GOGH avec ses fameux tournesols,
    D'autres s'y sont essayés en mirant ces étendues de tournesols,
    Fleur du soleil, si il en est, lumineuse à souhait,
    Et qui nous enchante de bienfaits

    Comme le soleil qui sans lui, nous serions tellement malheureux,
    Des provençaux sans lumières ne peuvent pas être heureux,
    Ici, quand l'éteint point, des grésillements se font entendre,
    Les cigales donnent leurs récitals, c'est merveilleux à entendre.

    Quand ensuite les tomates rougissent,
    Et que le sol commence à se craqueler,
    C'est cela l'été, l'ombre devient refuge, face aux températures qui réagissent.
    Le thermomètre s'affole avec insistance, il ne cesse de s'élever.

    Alors l'olivier souverain,
    Accepte avec douceur cette température d'airain,
    Que même nous du coin avons du mal à supporter,
    On dit, c'est du plomb, pour le relater.

    Et si la Provence était sans la mer,
    Il faudrait la créer, pour qu'elle répande son bonheur.
    La vérité, ici la mer,
    C'est la compagne du pêcheur,

    La joie des baigneurs,
    L'attraction du touriste,
    Le livre à la mémoire des acteurs,
    La vitrine, pour nous noyer de touristes.

    Ensuite, il y a Marseille,
    La capitale du pastis,
    Son olympique de Marseille,
    Son stade vélodrome, où quand la défaite est là, alors là gare aux pastis.

    Et pour surveiller tout cela, il y a la Bonne Mère,
    La protectrice de cette ville, et comme une mère,
    Elle veille sur ses enfants,
    Si turbulents mais qui sont aussi bons enfants.

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