dimanche 5 mai 2013

©SABLIER DE VIE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS&PHOTOSPEINTURES MARTINE ANCIAU...

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  1. ©SABLIER DE VIE POEME THOMAS ANDRE©

    Il est vrai que souvent le soir,
    On se laisse aller vers le désespoir,
    On a une impression contraignante de la vie
    Car on est en manque d’envie.

    Comme une apparition, apparaît une lumière,
    Qui te chuchote à l'esprit une prière,
    Et te fait découvrir la vérité,
    Et creuse en toi, pour te faire de la vie retrouver la sincérité.

    Il se nomme ton ami,
    Veillant sur toi lors de tes moments de doutes infinis,
    Pour te refaire voir ton chemin,
    Et te dicter des dogmes, comme sur un parchemin.

    Tu trouveras alors que la tristesse
    Est si éloignée de l'allégresse,
    Malgré tout, ces deux univers se rudoient,
    Et chaque jour de notre existence, elles se côtoient.

    Tu devras trouver le courage, pour garder la force en toi.
    Pour apprendre à surmonter leurs dessins qui peuvent être rudesse,
    Ou bien trouver de plus grandes motivations,
    Pour que tu puisses trouver d'autres satisfactions

    Comme une libération, tu entends une musique,
    Et soudain, il semble y avoir un avenir,
    Comme si par magie, quelque chose te rappelle, que tu as encore un devenir,
    Celui indécis, imprécis et peut être physique,

    Car les efforts pour te reconstruire te coûteront beaucoup,
    Et tu devras t'imposer dans la difficulté,
    Comme si tu étais, à la recherche, de ta source de vie tout à coup,
    Comme un bruit intérieur, tu le percevras dans ta quasi surdité,

    Celle qui t'empêche de continuer,
    Car ta peine n'est pas encore assez atténuée,
    Et cette blessure, t'ôte l'envie de vie,
    Pour toi quoi qu'il se passe tu n'es qu'en survie.

    Ecoule toi mon sablier de temps,
    Pour que je puisse un jour ne plus être à contretemps,
    Et que de tous mes malheurs j'en tire une force,
    Et que de bribes, je devienne syllabes, puis phrase pour gagner en force,

    Alors, toujours en courroux, au fond de moi,
    Je pénétrerais jusqu'au plus profond de moi,
    Pour essayer de retirer, ce grain de sable,
    Qui ne m'autorise pas à voir, ce qu'il reste de mon histoire, cet océan de sable.

    Comme pris dans un étau,
    Je ne peux mettre en paix mon cerveau,
    Sans risquer chaque jour de désillusion,
    Je me dois d'éviter cette confusion.
    A LA VITESSE OU NOS JOURS S'ecoulent le temps viendra vite ou nous serons grain de sable avant que de n'être poussière

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