mardi 4 septembre 2012

©NOTREMONDE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS-PEINTURES MARTINE ANCIAUX LECTEUR ...

1 commentaire:

  1. SAVOIR TOUJOURS SE POSER LES BONNES QUESTIONS OU LA TECHNOLOGIE ME CONDUIT ELLE?





    ©NOTRE MONDE POEME DE THOMAS ANDRE©

    Jamais l’humanité n’a évolué aussi vite,
    Le progrès, est une course qui s’invite,
    Tous les jours en nous transformant rapidement,
    En des robots mal programmés, car toujours perceptibles évidemment.

    S’envoler loin de l’essentiel,
    A une allure démentielle,
    Nous changeant par rapport, à notre démarche quotidienne synthétique,
    Vers un avenir de découvertes moins pathétiques.

    En moins de cent ans, nous avons découvert l’automobile,
    Ces derniers temps le mobile,
    Dans les années 1900, c’était au tour du cinéma de se valoriser,
    D’abord muet, puis en couleur, et enfin en 3D et dolby stéréo et enfin se numériser.

    Comment d’un film sans paroles, sommes nous arrivés à une telle puissance du son,
    A une superbe évolution des cascades, pour pouvoir nous créer tant d’émotions
    Qu’un engouement extraordinaire peut naître chez les spectateurs,
    Et nous projeter dans le film comme des acteurs.

    Ensuite on a découvert grâce à EINSTEIN, la relativité,
    Et c’est à partir de là, que OPPENHEIMER créa la terreur de la radioactivité,
    Une découverte, qui nous amena vers l’ère atomique,
    Celle là même qui guérit, et soigne nos douleurs physiques.

    Générant du confort, et de l’électricité,
    Créant par la même une ambiguïté entre bienfaits, et risques de l’activité,
    Une découverte extraordinaire, mais qui nécessite beaucoup de compréhension,
    Et un maximum de sécurité, pour bénéficier de sa mise en production.

    L’ordinateur, un outil d’ouverture,
    Mais aussi de fermeture,
    Effectivement, nos enfants ne sont devenus plus que des mémorisateurs de clavier,
    A tel point, qu’ils ne savent, plus ni lire, ni compter, à cause de ce clavier.

    Ipad, multifonction tactile,
    Qui nous rend à l’heure actuelle servile,
    En nous rendant, d’une sonnerie tributaire,
    Et d’un message, l’impatient destinataire.

    Combien de fois, la non maîtrise du progrès,
    A fait que l’humanité, se soit égarée,
    Et que l’individu, bien qu’avide d’avancées,
    Se soit perdu, et soit responsable de son incompétence, devant ces avancées.

    RépondreSupprimer